L'histoire sans fin - Les 12 travaux d'Astrée
Page 1 sur 1 • Partagez
L'histoire sans fin - Les 12 travaux d'Astrée
L'histoire sans fin -
Les 12 travaux d'Astrée
Les 12 travaux d'Astrée
Les règles du jeu se trouvent dans ce sujet.
Astrée est la fille cachée d'Enyo (Déesse de la Guerre et de ses horreurs) et d'un paysan. Elle grandit à la campagne, dans l’anonymat. Mais son tempérament de feu et sa volonté d'être reconnue par ses pairs n'étaient pas compatibles avec une petite vie tranquille.
à ses dix-huit ans, elle décida donc de partir pour affronter le monde et prouver sa valeur. Elle se mit en tête de réaliser douze travaux, comme Héraclès (le Hercule Grec).
Parviendra-t-elle à surpasser son aîné ?
Liste des travaux déjà effectués :
à ses dix-huit ans, elle décida donc de partir pour affronter le monde et prouver sa valeur. Elle se mit en tête de réaliser douze travaux, comme Héraclès (le Hercule Grec).
Parviendra-t-elle à surpasser son aîné ?
____________________________________
Liste des travaux déjà effectués :
1-
2-
3-
4-
5-
6-
7-
8-
9-
10-
11-
12-
2-
3-
4-
5-
6-
7-
8-
9-
10-
11-
12-
- Maître du JeuGénéralDétailsHRP
Re: L'histoire sans fin - Les 12 travaux d'Astrée
La vie à la campagne était morne et ennuyeux. Toute la journée des tâches répétitives et sans valeurs. Astrée n'en pouvait plus. Dans son sang coulait de la lave. Son cœur battait toujours deux fois plus vite que n'importe quelle autre cœur. Elle était faite pour l'action. D'ailleurs, elle ne pouvait jamais rester en place bien lontemps.
En ce jour de ces dix-huit ans, elle rabattit de son bras ses longues boucles rousses derrière sa tête. Sa décision était prise : elle partait. Elle allait prouver au monde qu'elle était plus qu'une fermière aux cheveux de feu. Elle allait leur prouver qu'elle provenait d'une essence divine.
« Ah ah ah ! Et comment feras-tu ça, idiote ? »
« Avec la force de mes bras. »
« Ah ah ah ! Tu n'as ni nom royal, ni richesse. Tu n'es rien ! »
« Alors je deviendrais quelqu'un par moi-même. »
« Ah ah ah ! Je pleure de rire. Et que feras-tu, petite idiote ? »
« Je succéderais aux 12 travaux d'Hercule. »
« Les meilleures blagues sont les plus courtes, petite idiote. Va travailler dans les champs maintenant. »
« Non. Je pars. Et je m'en vais rencontrer Héphaistos. Il me forgera une arme. »
En ce jour de ces dix-huit ans, elle rabattit de son bras ses longues boucles rousses derrière sa tête. Sa décision était prise : elle partait. Elle allait prouver au monde qu'elle était plus qu'une fermière aux cheveux de feu. Elle allait leur prouver qu'elle provenait d'une essence divine.
« Ah ah ah ! Et comment feras-tu ça, idiote ? »
« Avec la force de mes bras. »
« Ah ah ah ! Tu n'as ni nom royal, ni richesse. Tu n'es rien ! »
« Alors je deviendrais quelqu'un par moi-même. »
« Ah ah ah ! Je pleure de rire. Et que feras-tu, petite idiote ? »
« Je succéderais aux 12 travaux d'Hercule. »
« Les meilleures blagues sont les plus courtes, petite idiote. Va travailler dans les champs maintenant. »
« Non. Je pars. Et je m'en vais rencontrer Héphaistos. Il me forgera une arme. »
- Velhelm PeikkoGénéralDétailsHRP
Re: L'histoire sans fin - Les 12 travaux d'Astrée
C'est ainsi qu'Astrée prit la route, vexée et plus déterminée que jamais, avec rien de plus qu'un petit baluchon sur l'épaule. Elle parcourut les routes, durant plusieurs jours. Le plus souvent à pied, parfois juchée sur une charrette lorsqu'un voyageur avait l'élégance de l'accepter pour un bout de chemin.
Lorsqu'elle eut épuisé les maigres vivres qu'elle avait emportés avec elle, Astrée se mit à chiper de quoi se sustenter dans les champs environnants. Ce périple n'était pas une promenade de santé. Si elle était partie la tête haute, persuadée que le monde l'accueillerait avec enthousiasme, elle se rendit vite compte que manger ou dormir dans un lit confortable n'était pas chose aisée sans argent. Pas de cadeaux pour la pauvre paysanne en guenilles qu'elle était.
Trop fière pour retourner chez ses parents adoptifs la queue entre les jambes, Astrée persista dans son idée. Elle prit la route d'Athènes où elle espérait bien trouver des informations sur Héphaïstos.
Au fil de ses pérégrinations, elle apprit que le maître des forgerons résidait dans la région d'Etna, en Sicile.
- Paraît qu'elle est miraculeuse c'te ille, lui raconta un jour un vendeur ambulant. Entendu dire qu'si on dépose argent et or, le lend'main on r'trouve une arme forgée par Héphaïstos lui-même !
Astrée se mit donc en tête de se rendre là-bas. Restait à savoir où elle trouverait le métal et l'or nécessaire à la fabrication de son arme.
Lorsqu'elle eut épuisé les maigres vivres qu'elle avait emportés avec elle, Astrée se mit à chiper de quoi se sustenter dans les champs environnants. Ce périple n'était pas une promenade de santé. Si elle était partie la tête haute, persuadée que le monde l'accueillerait avec enthousiasme, elle se rendit vite compte que manger ou dormir dans un lit confortable n'était pas chose aisée sans argent. Pas de cadeaux pour la pauvre paysanne en guenilles qu'elle était.
Trop fière pour retourner chez ses parents adoptifs la queue entre les jambes, Astrée persista dans son idée. Elle prit la route d'Athènes où elle espérait bien trouver des informations sur Héphaïstos.
Au fil de ses pérégrinations, elle apprit que le maître des forgerons résidait dans la région d'Etna, en Sicile.
- Paraît qu'elle est miraculeuse c'te ille, lui raconta un jour un vendeur ambulant. Entendu dire qu'si on dépose argent et or, le lend'main on r'trouve une arme forgée par Héphaïstos lui-même !
Astrée se mit donc en tête de se rendre là-bas. Restait à savoir où elle trouverait le métal et l'or nécessaire à la fabrication de son arme.
- Charleen ImbachGénéralDétailsHRP
- Administratrice
Re: L'histoire sans fin - Les 12 travaux d'Astrée
Astrée avait été tenté de voler. Après tout, depuis qu'elle avait quitté la maison familiale, elle survivait grâce à ces petits larcins. Donc son esprit n'était pas encore tiraillé en deux sens opposés.
Ça arriva une nuit. Elle était cachée dans des buissons, attendant que le petit groupe s'endorme. Elle quitta avec milles précautions sa cachette et s'avança sur la pointe des pieds. Elle voyait deux épées dont elle pouvait s'emparer. (ça lui ferait de l'acier). Elle voyait également une bourse remplie de pièces d'or.
*Non, Astrée. Tu ne peux pas faire ça... *
Le conflit moral arriva dans sa tête comme un coup de tonnerre. Elle voulait montrer au monde qu'elle existait. Pour cela, elle voulait se forger une légende similaire à Heracles. Ce qui impliquait de trouver des matériaux pour le dieu forgeron.
*Mais pas comme ça... Une héroïne de légende n'est pas une voleuse. *
Alors Astrée repartit les mains vides. Elle prit le chemin des cours d'eau où l'on disait que l'or nageait dedans. Juste à côté des mines où on pouvait extraire les métaux. Petit à petit, avec le temps passant, l'acier et l'or devinrent un petit butin. Elle acquit des muscles à force de piocher. Elle acquit de la patiente et de la vivacité à force de chercher les éclats de soleil dans l'eau jamais immobile.
*Demain je pourrais me présenter au dieu forgeron. Je lui laisserais tout mon acier et tout mon or. J'aurais alors mon arme de légende. Oui, demain j'irais. *
Astrée s'endormit des rêves plein la tête et un sourire sur le visage. Peut-être aurait-elle du vérifier les environs de son petit campement. Car dans les ombres, des yeux l'observaient...
Ça arriva une nuit. Elle était cachée dans des buissons, attendant que le petit groupe s'endorme. Elle quitta avec milles précautions sa cachette et s'avança sur la pointe des pieds. Elle voyait deux épées dont elle pouvait s'emparer. (ça lui ferait de l'acier). Elle voyait également une bourse remplie de pièces d'or.
*Non, Astrée. Tu ne peux pas faire ça... *
Le conflit moral arriva dans sa tête comme un coup de tonnerre. Elle voulait montrer au monde qu'elle existait. Pour cela, elle voulait se forger une légende similaire à Heracles. Ce qui impliquait de trouver des matériaux pour le dieu forgeron.
*Mais pas comme ça... Une héroïne de légende n'est pas une voleuse. *
Alors Astrée repartit les mains vides. Elle prit le chemin des cours d'eau où l'on disait que l'or nageait dedans. Juste à côté des mines où on pouvait extraire les métaux. Petit à petit, avec le temps passant, l'acier et l'or devinrent un petit butin. Elle acquit des muscles à force de piocher. Elle acquit de la patiente et de la vivacité à force de chercher les éclats de soleil dans l'eau jamais immobile.
*Demain je pourrais me présenter au dieu forgeron. Je lui laisserais tout mon acier et tout mon or. J'aurais alors mon arme de légende. Oui, demain j'irais. *
Astrée s'endormit des rêves plein la tête et un sourire sur le visage. Peut-être aurait-elle du vérifier les environs de son petit campement. Car dans les ombres, des yeux l'observaient...
- Velhelm PeikkoGénéralDétailsHRP
Re: L'histoire sans fin - Les 12 travaux d'Astrée
Un satyre, se cachait derrière les rochers. Il observait la jeune femme depuis plusieurs jours, déjà, sans qu'elle ne l'ait remarqué. Malgré ses sabots, le mi-homme mi-bouc savait se faire discret. Il n'eut d'ailleurs aucun mal à s'approcher d'Astrée et lui voler son précieux butin.
Lorsqu'elle s'éveilla, la jeune femme constata bien rapidement le vol. Jadis, Astrée aurait hurlé, trépigné et injurié. Mais maintenant qu’elle s’était fixé un objectif, elle n’était plus que détermination. La jeune femme reprit donc ses outils et recommença ses fouilles.
Quelques semaines plus tard, au prix de longues heures de travail et de patience, le butin d’Astrée fut de nouveau réuni.
- Demain, j’irai à l’Etna, déclara Astrée à elle-même, demain, je déposerai mon or et mon acier sur l’ile d’Héphaïstos pour qu’il me crée la plus belle des armes.
C’est des rêves de grandeur plein la tête que la jeune femme s’endormit, le précieux métal blottit contre sa poitrine.
Le lendemain, lorsque les rayons du soleil vinrent lui chatouiller le bout du nez, la jeune femme sentit comme un vide au creux de son cœur. Pour la deuxième fois, son butin avait été dérobé.
Folle de rage, le désespoir menaçant de l’anéantir, Astrée cria aux dieux :
- Laissez-moi prouver ma valeur ! Je veux montrer au monde qui je suis et j’y arriverai, quoiqu’il en coute et même si je dois ramasser cet or pendant mille ans !
Puis elle se remit au travail, plus déterminée que jamais.
Plusieurs jours passèrent et Astrée finit de nouveau par amasser suffisamment d’or et d’acier. Cette fois, elle se le promis, personne ne lui prendrait son du. Demain, elle se rendrait à l’Etna et elle obtiendrait son arme légendaire.
* Demain, demain …, se répétait-elle tout en luttant contre le sommeil.*
Cette fois-ci, Astrée avait calé la précieuse bourse sous sa tête.
La jeune femme feignait un sommeil profond, mais il n’en était rien. Dès qu’elle sentit la bourse glisser sous sa tête, Astrée se releva d’un bon et sauta sur l’être qui lui dérobait inlassablement son butin : un satyre.
Lorsqu'elle s'éveilla, la jeune femme constata bien rapidement le vol. Jadis, Astrée aurait hurlé, trépigné et injurié. Mais maintenant qu’elle s’était fixé un objectif, elle n’était plus que détermination. La jeune femme reprit donc ses outils et recommença ses fouilles.
Quelques semaines plus tard, au prix de longues heures de travail et de patience, le butin d’Astrée fut de nouveau réuni.
- Demain, j’irai à l’Etna, déclara Astrée à elle-même, demain, je déposerai mon or et mon acier sur l’ile d’Héphaïstos pour qu’il me crée la plus belle des armes.
C’est des rêves de grandeur plein la tête que la jeune femme s’endormit, le précieux métal blottit contre sa poitrine.
Le lendemain, lorsque les rayons du soleil vinrent lui chatouiller le bout du nez, la jeune femme sentit comme un vide au creux de son cœur. Pour la deuxième fois, son butin avait été dérobé.
Folle de rage, le désespoir menaçant de l’anéantir, Astrée cria aux dieux :
- Laissez-moi prouver ma valeur ! Je veux montrer au monde qui je suis et j’y arriverai, quoiqu’il en coute et même si je dois ramasser cet or pendant mille ans !
Puis elle se remit au travail, plus déterminée que jamais.
Plusieurs jours passèrent et Astrée finit de nouveau par amasser suffisamment d’or et d’acier. Cette fois, elle se le promis, personne ne lui prendrait son du. Demain, elle se rendrait à l’Etna et elle obtiendrait son arme légendaire.
* Demain, demain …, se répétait-elle tout en luttant contre le sommeil.*
Cette fois-ci, Astrée avait calé la précieuse bourse sous sa tête.
La jeune femme feignait un sommeil profond, mais il n’en était rien. Dès qu’elle sentit la bourse glisser sous sa tête, Astrée se releva d’un bon et sauta sur l’être qui lui dérobait inlassablement son butin : un satyre.
- Charleen ImbachGénéralDétailsHRP
- Administratrice
Re: L'histoire sans fin - Les 12 travaux d'Astrée
Le satyre n'avait rien vu venir. Allourdi par son nouveau butin, il était complètement à la merci d'Astrée qui lui demandait des explications.
« Je n'y peux rien, c'est plus fort que moi. Dionysos m'a fait connaître mille plaisirs. Le vin coûte cher. »
Astrée tira sur son butin. Le satyre ne voulait pas le lâcher. La petite paysanne tira encore plus fort jusqu'à ce qu'elle le récupère enfin ! Elle ne se ferait pas voler une troisième fois, non mais.
« Nous nous reverrons petite. Et je crains que la prochaine fois nous soyons encore dans des camps opposés. »
De bonds agiles, le satyre disparut très vite, laissant Astrée de nouveau seule. Mais avec son butin. Trop excitée, elle ne put se résoudre à se rendormir. Elle empaqueta ses maigres possessions et décida de prendre le chemin vers l'Etna à la lueur de la lune.
Le soleil était maintenant haut et Astrée y était, tout en haut de l'Etna. Elle déposa tout son acier et tout son or sur la roche plate qui servait d'autel. Elle s'agenouilla et formula sa demande à voix haute, avec détermination au créatif dieu forgeron :
« Je t'en supplie, Héphaïstos, forge-moi une arme qui assiera ma légende dans l'Histoire. Je me suis fait voler par deux fois et jamais je n'ai abandonné. J'ai triomphé de mon épreuve et je pense mériter ma récompense. »
Que faire maintenant ? Astrée décida de redescendre de l'Etna. Elle passa la journée dans la petite ville à se nourrir, les nuages vinrent griser le ciel. En fin de soirée, le ciel était noir. Astrée qui n'avait plus aucun sou, ayant tout donné au dieu forgeron, dut trouver un endroit public et gratuit pour se réfugier des éclairs qui semblaient frapper l'Etna lui-même.
Après une nuit compliquée, grelottante, Astrée recommença l'ascension de l'Etna. Et quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle découvrit tout son acier et tout son or transformé sur cette même pierre plate.
Une magnifique épée à la lame noire comme les nuages colériques. Un pommeau étincelant d'or où était gravé mille éclairs. Astrée s'en saisit et de l'électricité statique gagna son corps. En même temps, quelques mots se gravèrent dans sa tête, le nom de son arme légendaire : l'Epée de Zeus.
C'était formidable ! Astrée venait d'accomplir son premier travail. Elle avait son arme légendaire. Désormais, elle pouvait redescendre de la montagne à la recherche de son second travail.
« Je n'y peux rien, c'est plus fort que moi. Dionysos m'a fait connaître mille plaisirs. Le vin coûte cher. »
Astrée tira sur son butin. Le satyre ne voulait pas le lâcher. La petite paysanne tira encore plus fort jusqu'à ce qu'elle le récupère enfin ! Elle ne se ferait pas voler une troisième fois, non mais.
« Nous nous reverrons petite. Et je crains que la prochaine fois nous soyons encore dans des camps opposés. »
De bonds agiles, le satyre disparut très vite, laissant Astrée de nouveau seule. Mais avec son butin. Trop excitée, elle ne put se résoudre à se rendormir. Elle empaqueta ses maigres possessions et décida de prendre le chemin vers l'Etna à la lueur de la lune.
Le soleil était maintenant haut et Astrée y était, tout en haut de l'Etna. Elle déposa tout son acier et tout son or sur la roche plate qui servait d'autel. Elle s'agenouilla et formula sa demande à voix haute, avec détermination au créatif dieu forgeron :
« Je t'en supplie, Héphaïstos, forge-moi une arme qui assiera ma légende dans l'Histoire. Je me suis fait voler par deux fois et jamais je n'ai abandonné. J'ai triomphé de mon épreuve et je pense mériter ma récompense. »
Que faire maintenant ? Astrée décida de redescendre de l'Etna. Elle passa la journée dans la petite ville à se nourrir, les nuages vinrent griser le ciel. En fin de soirée, le ciel était noir. Astrée qui n'avait plus aucun sou, ayant tout donné au dieu forgeron, dut trouver un endroit public et gratuit pour se réfugier des éclairs qui semblaient frapper l'Etna lui-même.
Après une nuit compliquée, grelottante, Astrée recommença l'ascension de l'Etna. Et quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle découvrit tout son acier et tout son or transformé sur cette même pierre plate.
Une magnifique épée à la lame noire comme les nuages colériques. Un pommeau étincelant d'or où était gravé mille éclairs. Astrée s'en saisit et de l'électricité statique gagna son corps. En même temps, quelques mots se gravèrent dans sa tête, le nom de son arme légendaire : l'Epée de Zeus.
C'était formidable ! Astrée venait d'accomplir son premier travail. Elle avait son arme légendaire. Désormais, elle pouvait redescendre de la montagne à la recherche de son second travail.
- Velhelm PeikkoGénéralDétailsHRP
Sujets similaires
» Règles du jeu - L'histoire sans fin
» L'histoire sans fin - Au pays des merveilles
» L'histoire sans fin - Perdu dans la forêt
» L'histoire sans fin - Au pays des merveilles
» L'histoire sans fin - Perdu dans la forêt
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum